Pour une génération qui a grandi en ligne, on pourrait s'attendre à ce que Noël semble un peu dépassé. Ce n'est pas le cas. Si quelque chose, la génération Z s'accroche à cette fête. Ils le font simplement avec un œil sur leur solde bancaire et l'autre sur leurs flux sociaux. Une nouvelle étude de la société d'aide aux étudiants PapersOwl dépeint un tableau très [...] L'article "La génération Z aime toujours Noël. Leurs Portefeuilles en sont fatigués" est apparu en premier sur TechBullion.Pour une génération qui a grandi en ligne, on pourrait s'attendre à ce que Noël semble un peu dépassé. Ce n'est pas le cas. Si quelque chose, la génération Z s'accroche à cette fête. Ils le font simplement avec un œil sur leur solde bancaire et l'autre sur leurs flux sociaux. Une nouvelle étude de la société d'aide aux étudiants PapersOwl dépeint un tableau très [...] L'article "La génération Z aime toujours Noël. Leurs Portefeuilles en sont fatigués" est apparu en premier sur TechBullion.

La génération Z aime toujours Noël. Leurs portefeuilles en ont assez

2025/12/09 17:55

Pour une génération qui a grandi en ligne, on pourrait s'attendre à ce que Noël semble un peu dépassé. Ce n'est pas le cas. Au contraire, la génération Z s'accroche à cette fête. Ils le font simplement avec un œil sur leur compte bancaire et l'autre sur leurs réseaux sociaux.

Une nouvelle étude de l'entreprise d'aide aux étudiants PapersOwl dresse un tableau très précis de la façon dont 2 000 membres de la génération Z abordent cette saison. Noël reste émotionnellement central. C'est aussi coûteux, stressant et fortement filtré par les réseaux sociaux.

Le résultat ressemble moins au compte à rebours insouciant qu'on voit dans les publicités de fêtes et davantage à un exercice d'équilibriste entre joie, obligation et argent.

Noël reste "la" fête pour la génération Z

Malgré tous les discours sur le rejet des traditions par les jeunes générations, Noël reste en tête de liste. Dans l'enquête de PapersOwl, 59% des répondants de la génération Z affirment que Noël est la fête la plus importante de l'année. Seul environ un cinquième place d'autres célébrations au-dessus.

Le rituel central n'a pas beaucoup changé non plus. L'échange de cadeaux est au cœur du "Christmascore de la génération Z". Les trois quarts des répondants disent que l'échange de cadeaux est leur tradition de Noël préférée, devant des activités comme les fêtes ou les activités religieuses.

Il y a un autre changement subtil caché dans les chiffres. Près d'un quart des répondants disent que la plus grande part de leurs dépenses de Noël va maintenant à leurs propres enfants. Ce n'est plus seulement la génération qui déballe des cadeaux par terre. Une part croissante sont ceux qui les achètent, entrant discrètement dans le rôle du "parent qui fait exister Noël".

Donc émotionnellement, Noël tient toujours. La tension commence quand la génération Z regarde la facture.

Quand la "joie" rencontre les problèmes d'argent

La relation de la génération Z avec les dépenses des fêtes est compliquée. D'un côté, la saison compte clairement. De l'autre, ils sont très conscients du prix à payer.

Environ 55% des répondants disent ressentir une certaine pression pour acheter des cadeaux à chaque membre de la famille. Un sur trois dit s'être déjà endetté au moins une fois pour couvrir les dépenses de Noël.

Les cadeaux dominent le budget. Pour 8 répondants sur 10, les cadeaux représentent la plus grande dépense de Noël. Les enfants sont en tête de la liste des priorités, suivis par la famille proche et les partenaires.

En même temps, cette génération ne jette pas l'argent par les fenêtres. La majorité déclare maintenir leurs dépenses totales en cadeaux sous les 500 dollars. Les réductions ne sont pas un bonus. Elles font partie de la stratégie. Soixante-trois pour cent disent participer aux ventes du Black Friday ou du Cyber Monday, et 62% affirment que les promotions et réductions influencent directement leurs décisions d'achat pour les fêtes.

Même avec cette planification, près de la moitié admettent se sentir poussés à dépenser plus qu'ils ne peuvent réellement se permettre. Soixante et onze pour cent disent que Noël est devenu trop commercialisé.

En d'autres termes, la génération Z essaie de jouer le rôle du "bon enfant / bon parent / bon ami", tout en se comportant comme la génération la plus consciente de son budget que nous ayons vue depuis longtemps. Les mathématiques ne jouent pas toujours en leur faveur.

Les réseaux sociaux fixent la barre. La vie réelle en paie le prix.

La pression n'est pas seulement financière. Elle est aussi esthétique.

Près de la moitié de la génération Z dans l'enquête dit que les réseaux sociaux influencent leur vision de Noël. Environ un tiers dit comparer souvent leur propre célébration à ce qu'ils voient des célébrités et des influenceurs.

Cette comparaison constante a un coût.

Plus de sept répondants sur dix disent se sentir obligés de passer Noël en famille. Plus de la moitié disent ne pas pouvoir honnêtement décrire cette saison comme "non stressante". Beaucoup associent spécifiquement ce stress au besoin de mettre en scène des fêtes "parfaites" ou de répondre aux attentes familiales.

Pourtant, il y a un paradoxe. Malgré toute l'influence que les réseaux sociaux ont sur leur humeur, la plupart des membres de la génération Z ne mettent pas leur propre Noël en ligne. Selon l'enquête, 8 sur 10 disent ne pas du tout diffuser leur célébration sur les plateformes sociales.

Ils font donc défiler des versions soigneusement sélectionnées des fêtes des autres, ressentent la pression de s'y conformer, puis choisissent largement de garder leur propre expérience hors ligne. C'est Noël comme une réalité privée et une performance publique à laquelle ils ont déjà décidé de ne pas participer.

Comment la génération Z passe réellement les fêtes

Sous le stress et la gestion du budget, le Noël de la génération Z semble étonnamment traditionnel.

Les données de PapersOwl montrent un fort soutien pour les rituels low-tech. Environ 59% disent que la pâtisserie fait partie de leur Noël. Soixante pour cent mentionnent la décoration. Soixante-deux pour cent prévoient des marathons de films de Noël.

En ce qui concerne la socialisation, l'histoire est similaire. Environ 53% disent aimer mélanger les vœux en ligne et hors ligne, tandis qu'un tiers aime organiser des fêtes à la maison. Les applications de messagerie et les stories Instagram sont toujours là. Elles coexistent simplement avec les rassemblements du monde réel, au lieu de les remplacer.

Cet équilibre entre écrans et salons s'étend à la façon dont la génération Z envisage le tableau d'ensemble. Un peu plus de la moitié des répondants disent établir une sorte de budget pour les fêtes, un petit acte de contrôle dans une saison qui peut facilement déraper.

En bref, vous êtes plus susceptible de trouver cette génération en train de faire des biscuits, de revoir de vieux films de Noël et d'envoyer des messages à des amis que de les voir diffuser en direct une fête extravagante.

Faire face à la charge émotionnelle

L'enquête souligne également à quel point les fêtes peuvent être chargées émotionnellement.

La génération Z utilise un mélange de stratégies pour gérer cette pression. Seize pour cent disent se tourner vers la pleine conscience ou la méditation. Quinze pour cent comptent sur l'alcool comme mécanisme d'adaptation. Douze pour cent admettent se réfugier dans la procrastination ou l'évasion. Huit pour cent disent ouvertement qu'ils ne peuvent tout simplement pas faire face au stress des fêtes.

Malgré toute cette tension, plus de la moitié des répondants ne prennent pas de jours spécifiques de congé pour Noël. Cinquante-quatre pour cent disent continuer à travailler ou à étudier pendant la saison.

Cela s'ajoute à un schéma familier. Une génération déjà connue pour ses niveaux élevés d'anxiété et d'épuisement essaie de naviguer dans la saison la plus chargée émotionnellement de l'année sans beaucoup de temps ou d'espace supplémentaire.

Ce que cela dit sur la génération Z et l'avenir des fêtes

Pris ensemble, les résultats de PapersOwl esquissent une image claire de la position actuelle de la génération Z. Noël compte toujours profondément. Les rituels n'ont pas disparu. Les échanges de cadeaux, la pâtisserie, la décoration et les soirées cinéma sont bien vivants.

En même temps, les fêtes sont devenues un calcul minutieux. Cette génération :

  • Établit des budgets et recherche des réductions.
  • Se sent déchirée entre ce qu'elle peut se permettre et ce qu'elle estime devoir à ses proches.
  • Absorbe des versions idéalisées de Noël sur les réseaux sociaux, puis choisit discrètement de ne pas diffuser la sienne.
  • Essaie de protéger sa santé mentale, même si elle admet avoir du mal à faire face.

L'enquête ne suggère pas que la génération Z est sur le point de renoncer à Noël. Elle suggère qu'ils veulent une version qui semble plus honnête. Moins de bruit commercial. Moins de standards impossibles. Plus d'accent sur le temps, la connexion et les petits rituels qui ne nécessitent pas de carte de crédit.

Pour les détaillants, les marques et même les membres plus âgés de la famille, cela vaut la peine d'être noté. La prochaine génération d'hôtes et de donneurs de cadeaux est déjà là. Ils sont déterminés à garder Noël, mais ils sont tout aussi déterminés à ne pas s'y perdre.

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